Santa Claus is Coming to Town!
Joyeux Noël à toutes et à tous!
Bruce Springsteen, Sant Claus is coming to town, Passaic, NJ, 20 septembre 1978. Le meilleur concert du Boss? Le meilleur concert du Boss!!!
Les mêmes, à Paris, le 17 décembre 2007!
Joyeux Noël à toutes et à tous!
Bruce Springsteen, Sant Claus is coming to town, Passaic, NJ, 20 septembre 1978. Le meilleur concert du Boss? Le meilleur concert du Boss!!!
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Libellés : Bruce Springsteen
Son groupe Raindogs sort deux albums et tourne avec Bob Dylan, Don Henley et Warren Zevon.
De 2000 à 2003, Johnny joue avec Susan McKeown et Aidan Brennan lors de la tournée A Winter Talisman, album paru en 2001. Ils se produisent 3 fois au Kennedy Center for Perfoming Arts à Washington DC. Ces concerts sont disponibles en vidéo
Voici quelques morceaux pour découvrir Johnny Cunningham:
* Johnny Cunningham & Susan McKeown avec Aidan Brennan (A Winter Talisman) : Langoili * The Unfortunate Snow Incident * The Bonnie Blue-Eyed Lassie
* Bill Morrissey : Inside * These Cold Fingers * Johnny's Tune (demo 2005)
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Libellés : Bill Morrissey, celtic, johnny cunningham, violin
Mark Erelli et Hayes Carll se sont produits le 18 février 2007 à la Pomme d'Eve dans le cadre d'une tournée Rounder Europe. Les deux se connaissaient à peine mais Mark a accompagné Hayes à chaque morceau de leurs deux sets "in the round", chacun son tour. A ce moment-là, Bill Morrissey était mal en point, c'est à dire en cure de désintoxication, à l'hosto... Sachant que les deux étaient fans de Bill, je leur ai demandé de faire uns et spécial, mais ils ont préféré raconter leur histoire et jouer chacun une chanson de Bill, "Birches" pour Mark Erelli, "Morrissey falls in love at first sight" pour Hayes. Les MP3 sont ci-dessous
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Libellés : Bill Morrissey, hayes carll, la pomme d'eve, mark erelli
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Libellés : Bill Morrissey, la pomme d'eve, lynn miles
Pas que je sois hyper fan des derniers albums de Josh, je préfère son Golden Age of Radio avec notamment Harrisburg et Me and Jiggs... Mais de temps en temps, je vais voir sur son site ce qui se trame, en espérant un concert parisien, et j'apprends qu'il donne deux conerts sold-out à Dublin avec un orchestre de 24 musiciens! Du coup, je me dis que le père Josh a chopé le melon et ben, non, il continue se produire en solo, comme témoigne cette version sans harmonica de The River du Boss.
Ca s'écoute ici et ça se regarde plus bas.
Et pour mon ami Pascal, l'un des rares visiteurs de ce blog, voici Mexican Home de Mister Prine enregistré au El Ray Theater de Los Angeles, le 1er mars 2007.
Après la version du Boss, No Nukes 1979, voici celle de Josh
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Libellés : Bruce Springsteen, John Prine, Josh Ritter
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Libellés : greg copeland, Greg Leisz, jackson browne
Son nom circulait depuis quelques jours, on vous en touchait deux mots ici-même la semaine passée. C'est confirmé: l'Académie suédoise vient de décerner le Prix Nobel à l'auteur du «Chercheur d'or», de «Désert» et de «l'Africain», qui succède ainsi à Doris Lessing. (La preuve: le communiqué officiel est en ligne ici). Les derniers Français récompensés étaient Camus (1957), Saint-John Perse (1960), Claude Simon (1985) et Gao Xingjian (2000). On ne connaît pas encore la réaction de Jean-Marie Gustave Le Clézio, qui confiait encore, ce matin même sur France Inter, ne pas se sentir «à la hauteur de Claude Simon» (la vidéo de l'émission est ici).
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En attendant sa venue au printemps (le 26 avril selon le site officiel, le 27 selon Gégé Drouot), et pour fêter dignement son 60 anniversaire, voici quelques clips acoustiques de Jackson Browne avec David Lindley.
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Libellés : david lindley, jackson browne
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Libellés : Bill Morrissey, Cliff Eberhart, folk, greg brown, John Gorka, pete nelson, signature sounds
« Être un homme. Et découvrir la solitude. Voilà ce que je dois à la Légion et aux vieux lascars d’Afrique, soldats, sous-offs, officiers, qui vinrent nous encadrer et se mêler à nous en camarades, des desperados, les survivants de Dieu sait quelles épopées coloniales, mais qui étaient des hommes, tous. Et cela valait bien la peine de risquer la mort pour les rencontrer, ces damnés, qui sentaient la chiourme et portaient des tatouages. Aucun d’eux ne nous a jamais plaqués et chacun d’eux était prêt à payer de sa personne, pour rien, par gloriole, par ivrognerie, par défi, pour rigoler, pour en mettre un sacré coup, nom de Dieu, et que ça barde, et que ça bande, chacun ayant subi des avatars, un choc en retour, un coups de bambou, ou sous l’emprise de la drogue, de l’alcool, du cafard ou de l’amour avait déjà été rétrogradé une ou deux fois, tous étaient revenus de tout. Pourtant ils étaient durs et leur discipline était de fer. C’était des hommes de métier. Et le métier d’homme de guerre est une chose abominable et pleine de cicatrice, comme la poésie. »
C'est à «la ferme de Navarin», en Champagne, que l'écrivain du «Transsibérien» perdit sa main. Retour sur les lieux du combat
C’est l’histoire d’une femme d’aujourd’hui qui recherche une main d’autrefois. La main droite d’un écrivain, Frédéric Sauser, alias Blaise Cendrars, arrachée par la mitraille allemande, le 28 septembre 1915, au nord de la ferme de Navarin, en Champagne, dans le paysage lunaire et la terre toujours stigmatisée de la Grande Guerre.
Partie de Reims, où elle habite, Gisèle Bienne roule dans la Marne jusqu’aux portes de l'Argonnel’Argonne,et s’arrête entre Suippes et Sommepy, devant l’ossuaire qui abrite les restes de 10.000 poilus. «On pourrait se croire, note-t-elle, dans l’extrême banlieue des morts, dans quelque vestige d’un goulag oublié au milieu des labours.» Seule une pancarte indique qu’ici «fut la ferme de Navarin». C’est à cet endroit que la vie de Blaise Cendrars – la braise et la cendre – a basculé. Né en 1887, il était d’origine suisse. Il avait connu l’Italie, l’Egypte, la Russie, les États-Unis et l’Allemagne. Il était monté à bord de paquebots et, sans doute, du Transsibérien, dont il avait transcrit la prose syncopée. Lorsque la guerre avait éclaté, l’auteur de «Pâques à New York» s’était engagé dans la Légion étrangère. D’abord envoyé sur le front de la Somme, il avait ensuite participé à l’offensive de Champagne, où il perdit sa main et fut ensuite amputé du bras, au-dessus du coude.
Depuis l’enfance, Gisèle Bienne est pleine de Cendrars. Dans un village de l’Aube, elle a grandi avec ses poèmes et ses récits de voyage. Il est son soleil et sa nuit, son chamane et son guide. Elle aussi est la petite-fille de poilus qui ont sombré dans l’alcool pour oublier qu’ils avaient vu l’enfer. L’un de ses grands-pères était chef de gare, il voyait passer les trains du Suisse errant. Aujourd’hui, elle erre de cratères en cimetières comme une orpheline et, avec les couleurs d’une peintre, décrit, quatre-vingt-dix ans après l’horreur, cette «région maudite, d’une force envoûtante».
On pense, en lisant ce récit à la fois ardent et méticuleux, au film de Bertrand Tavernier «la Vie et rien d’autre». Dans un décor d’apocalypse où la vie renaît, où l’herbe se remet à pousser entre les tranchées, une jeune femme prie un officier de l’aider à retrouver son mari, qui a disparu dans la boucherie. Dans son livre à fleur de peau et de mémoire, Gisèle Bienne tient à la fois de la veuve investigatrice et du militaire obsessionnel.
Sur la route crayeuse de Cendrars, elle a rencontré Yves Gibeau, qui recueillait dans sa maison de Roucy tout ce que la terre labourée n’en finissait pas de vomir, godillots, gourdes, casques, obus, barbelés, boucles de ceinturon. Et elle en appelle à tous les écrivains qui ont porté les armes, et dont certains ne sont jamais revenus, Genevoix, Alain-Fournier, Aragon, Bernanos, Péguy, Bousquet, Giono, Vaché et Apollinaire, qui écrivait: «Les arbres si rares sont des morts restés debout.»
Gisèle Bienne est une vivante qui écoute parler et pleurer les fantômes, ils ont raison de se confier à elle, car c’est une amie fidèle. Son petit livre est grand comme un mausolée, chaque prière y résonne.
J. G.
Gisèle Bienne vit à Reims. Elle est l’auteur de livres pour adolescents, de poèmes et de romans, dont «Paysages de l’insomnie» (Climats, 2004).
Source: «Le Nouvel Observateur» du 10 janvier 2008.
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The Old Quarter, "Where Lyrics Still Count"
Suite au passage de l’ouragan Ike dans le Golfe du Mexique, le club The Old Quarter, lieu légendaire de la scène des songwriters du Texas tenu par Wrecks Bell s’est retrouvé sous près de 3 mètres d’eau…
Pour reconstruire et relancer son activité, Wrecks a besoin d’aide. Ses amis Vince Bell (pas de lien de parenté) et Sarah Wrightson ont mis en place un plan de soutien financier. Tous les donateurs recevront une copie de Recado, le dernier album en date de Vince, quel que soit le montant.
Un long article (5 pages!) sur Wrecks et l’histoire du Old Quarter est disponible sur le site de Houston Press. Ces photos l'illustrent.
Although he always called him Rick, Wrecks was one of Lightnin' Hopkins's favorite bass players!
Le Old Quarter de Galveston a remplacé en 1996 le Old Quarter de Houston, où a notamment été enregistré l’indispensable Live at The Old Quarter de Townes van Zandt. Wrecks Bell a accompagné Lightnin’ Hopkins à la basse, était l’ami de Blaze Foley et est le sujet de Rex’s Blues, repris depuis par tout le monde, de Son Volt à Guy Clark, de Steve Earle à David Olney, de James McMurtry à Rambling Jack Elliott.
Sans notre aide, le Old Quarter ne se relèvera pas.
L’adresse Paypal est la suivante :
Nom : Sarah Wrightson
Compte : vince_bell@vincebell.com
Indiquez vos noms et adresse pour recevoir le CD de Vince.
MP3 : Rex's Blues/Snowing on Raton (Townes van Zandt) par David Olney & Thomm Jutz, La Pomme d'Eve, 11/29/04
MP3: Rex's Blues, (Townes van Zandt), par Ramblin' Jack Elliott avec Emmylou Harris & Nanci Griffith (album Friends of Mine, 1997)
Rex's Blues (Townes Van Zandt), performed by Wrecks Bell with Gary Reagan
"Ride the blue wind high and free,
she'll lead you down through misery.
Leave you low come time to go,
alone and low as low can be."
"Rex's Blues," Townes Van Zandt
Publié par Acoustic in pAris à 08:03 0 commentaires
Libellés : David Olney, Old Quarter, Rex's Blues, Townes, Vince Bell, Wrecks Bell
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Libellés : Ellis Paul, Into the Wild
Désolé de ne pas avoir pu accueillir Grayson Capps à la Pomme d'Eve (lire ici). Pour me faire pardonner, voici un concert acoustique enregistré tout récemment où il interprète des titres de son tout nouvel album, Rott and Roll.
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Libellés : alabama, blues, concert, folk, grayson capps, la pomme d'eve
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Libellés : Keith Moon, The Who
Publié par Acoustic in pAris à 21:22 3 commentaires
Libellés : bernie leadon, bluegrass, dillard and clark, eagles, gene clark
Publié par Acoustic in pAris à 22:56 2 commentaires
Libellés : elektra, greg copeland, jackson browne, steve noonan, tim buckley
Dernier concert à la Pomme d'Eve avec Eric Andersen, Iain Matthews et Ad Vanderveen, quelques photos du final, "Close the Door Lightly" d'Eric.
Reportage photo de Djac et album souvenir de Twilight ici
(c) Jacques Graf/fedephoto
Publié par Acoustic in pAris à 18:18 0 commentaires
Libellés : Ad Vanderveen, Eric Andersen, Iain Matthews, la pomme d'eve
Et oui, J-4 et après c'en sera fini des concerts Acoustic in Paris à la Pomme d'Eve! N'hésitez pas à me confirmer ou à m'annoncer votre présence pour l'une de ces deux soirées qui s'annoncent magiques.
Publié par Acoustic in pAris à 07:13 1 commentaires
Publié par Acoustic in pAris à 15:59 3 commentaires
Libellés : folk, hayward williams, jeffrey foucault, la pomme d'eve, peter mulvey, wisconsin
Oh, the year was 1778, HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
A letter of marque came from the king,
To the scummiest vessel I'd ever seen,
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
Oh, Elcid Barrett cried the town,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
For twenty brave men all fishermen who
would make for him the Antelope's crew
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
The Antelope sloop was a sickening sight,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
She'd a list to the port and her sails in rags
And the cook in scuppers with the staggers and the jags
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
On the King's birthday we put to sea,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
We were 91 days to Montego Bay
Pumping like madmen all the way
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
On the 96th day we sailed again,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
When a bloody great Yankee hove in sight
With our cracked four pounders we made to fight
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
The Yankee lay low down with gold,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
She was broad and fat and loose in the stays
But to catch her took the Antelope two whole days
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
Then at length we stood two cables away,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
Our cracked four pounders made an awful din
But with one fat ball the Yank stove us in
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
The Antelope shook and pitched on her side,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
Barrett was smashed like a bowl of eggs
And the Maintruck carried off both me legs
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
So here I lay in my 23rd year,
HOW I WISH I WAS IN SHERBROOKE NOW!
It's been 6 years since we sailed away
And I just made Halifax yesterday
God damn them all!
I was told we'd cruise the seas for American gold
We'd fire no guns-shed no tears
Now I'm a broken man on a Halifax pier
The last of Barrett's Privateers.
Publié par Acoustic in pAris à 23:04 1 commentaires
Libellés : canada, celtic, david francey, folk, stan rogers
Comme Jack Williams ou Kris Delmhorst, et avant probablement nombre d'autres songwriters de sa génération, Richard Shindell lance une souscription pour la réalisation de son nouvel album dont la sortie est prévue à la fin de l'année.
Nul besoin de rappeler le concert fabuleux donné par Richard à la Pomme d'Eve en septembre dernier. Il avait entre autres interprété Pancho & Lefty de Townes van Zandt que vous pouvez écouter en cliquant ici.
Le principe est simple, vous envoyez 20, 50, 100, 250, 500 dollars ou plus, selon vos moyens, et vous bénéficiez d'avantages correspondants, d'un exemplaire du CD et un CD bonus pour 20 dollars, à la peinture de votre maison pour 30.000 dollars!!! Entre les deux, plein d'options pour aider Richard à financer son album et se faire plaisir sans se ruiner (100 dollars = environ 60 euros).
De plus, 15% des dons sont reversés à une association caritative en Argentine où réside désormais Shindell qui vient par ailleurs d'ouvrir son blog.
Voilà, à vous de jouer!
Hervé
Extraits de Courier (live) : Courier * Arrowhead
Extraits de Vuelta : Che Guevara T-Shirt * The Last Fare of the Day
Et pour finir, la vidéo de Next Best Western :
Publié par Acoustic in pAris à 18:11 1 commentaires
Libellés : Richard Shindell, Souscription CD, Townes